dimanche 30 octobre 2011

la saloperie du dimanche

On comprend mieux les pétages de plomb en direct de ce merveilleux auteur/compositeur/interprète/présentateur. A l'écoute de ce chédeuvre aux paroles d'une profondeur inégalable et inégalée (ses cheveux étaient noirs de la couleur de l'espoir), à la musique digne d'un générique de Maritie et Gilbert Carpentier et aux vocaux à faire pâlir de jalousie Daniel Johnston, je ne peux que m'incliner. Je rends les armes. Trop de beauté tue la beauté.

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