Avouez.
Avouez que ça vous manquait.
Franchement, depuis que j'ai repris ce blog en main sur blogger.com pas une seule horreur à se mettre sous la dent, rien que du haut niveau. C'en était fatigant à la longue, non ? Et puis, il faut savoir décompresser parfois. Alors dans ce cas je vous propose un souvenir de mes années chéries où la musique était vraiment pensée en tant que telle, où chaque parole était réfléchie des heures durant avant d'être apposée sur une feuille de papier blanc, où la production d'un morceau demandait des heures et des heures de réflexion intensive, où chaque note de chaque instrument était pesée avec amour par des musiciens expérimentés ayant une culture musicale encyclopédique. C'était le bon temps, celui où les chansons ne sortaient pas à la chaîne, où elles étaient faites de façon artisanale (et dans artisanale il y a art).
Enfin bon, je ne vais pas ressortir ma nostalgie à deux balles et plutôt que de vous emmerder dans de longs discours creux, pompeux et inutiles, place maintenant à ce qui importe le plus en ce riant lieu de déconne : la musique. Et son plus fidèle représentant : ZAAK. Bon courage à ceux qui ne connaissaient pas et bonne chance pour vous la dégager du crâne.Elle était tombée en désuétude dans un oubli salutaire. Je me propose de la remettre en lumière, moi le sauveur des années 80.
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