La semaine dernière Cannes et ses paillettes accueillaient Annabelle et son fuis Lawrence d'Arabie. Aujourd'hui, spécial E.T ou rions un peu en attendant la mort. Chacun se demande ce qu'il adviendra de nous une fois retourné dans la terre, la gueule et le corps bouffés par d'obscurs mycètes, bactéries et insectes divers ou alors cramé jusqu'au cendre. Hein ? que se passe-t-il à partir du moment où l'âme a quitté le corps une bonne fois pour toutes ??? Hein ??? Perso j'en sais foutre rien. Afin d'éclairer un peu votre lanterne, de vous guider vers le droit chemin, je me tourne vers des personnes ayant une expérience de la chose. Alain Turban par exemple. Dans ce qui reste son CO, de l'autre côté de la vie, il nous fait part de son expérience à ce propos, faisant rime égal avec au moins Rimbaud ou encore, mais là je ne cite que les poètes d'exception, Barbelivien voire Lalanne. Son de l'autre côté de la vie est un poème épique sur l'absence, sur l'éternité, un hommage occulte à Claude François (des mots de lumière je t'écris), Lewis Caroll et d'autres encore. Mais je vais arrêter là pour le moment car je pourrais en faire une analyse si fine, si pertinente, qu'il me faudrait commencer un livre pour tout référencer tant la matière présente dans ce poème est riche de sens. Dois-je alors entamer mon analyse critique sur la musique de ce CO ou vous laisser découvrir ce gospel déchirant qui me retourne les tripes à chaque écoute (préparez la cuvette, c'est tout de même brutal)? Je n'en ferai rien. Je vais vous laisser découvrir ce qui reste un CO d'émotion brute servi par un
Regardez, écoutez, pleurez.Et n'oubliez pas de me remercier.
Me faire chialer si tôt le matin, c'est pas très sympa!
RépondreSupprimerEn même temps, la réincarnation en chat, je dis pas non...