Vous savez quoi ? Aujourd'hui se pose pour moi un véritable cas de conscience. Comme vous le savez tous, la saloperie consacre un "artiste" français, des années 80, auteur d'un one shot si possible et dont le nom est perdu dans les tréfonds de votre mémoire fort peu sélective. Sauf que là il se pourrait que je fasse une exception : je me préparais à vous proposer le sublime le malheur des uns et le bonheur des autres de Frédéric Chateau, réunissant la quintessence de la création eighties mais là, tout de suite, je suis en train de m'esgourder le meteorites d'Echo & The Bunnymen et me dis qu'à côté le Frédéric Chateau est un chédeuvrabsolu de sobriété et de délicatesse et surtout d'une intemporalité absolument remarquable en matière de production. Bref mon petit-déjeuner et mon dîner d'hier soir ont failli envahir d'un jet puissant mon clavier et mon moniteur.
Néanmoins comme je suis d'une droiture et d'une incorruptibilité exceptionnelles, je ferai un effort pour ne vous proposer que le Frédéric Chateau. Comme je l'ai dit plus haut, quintessence, années 80, synthés pourris, production datée, choeurs sublimes, toussa toussa mais en plus, on peut y déceler un humour au trentième degré. Suffit de faire l'effort de regarder le clip, sublime forcément sublime, ou d'écouter les paroles (dans un élan de masochisme pervers), voir la musique (mélange osé de classicisme années 80 et clichés français accordéonesques façon Sevran).
Après visionnage, je me dis la chose suivante : pas sur, tiens.
Après écoute, c'est probablement une interprétation de ma part ou alors de la clémence, allez savoir. Ou encore le traumatisme lié à l'écoute de meteorites d'Echo. Ca pourrait bien être ça, en effet.
Personnellement j'aime bien le chanteur Frédéric Chateau
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