Je vous ai déjà présenté en 2011 cet artiste hors du commun, ce dieu de la chanson française, ce pur génie qu'est François Juno. Sa face A (l'an 1999) on se l'était déjà prise dans la face ; sa face B, moins violente, reste aussi un grand moment de la chanson française certifiée AOC. Un climax, une apothéose plus proche de l'enfer que du paradis à bien y réfléchir. Mais on s'en fout.
La preuve ci-dessous.
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