Non ????
Vous n'avez pas tort.
Pour ce jour exceptionnel à plus d'un titre, il fallait frapper fort. Très fort.
C'est noël, jour des enfants par excellence. J'ai donc décidé de vous gâter.
Ma saloperie du dimanche devrait en toute logique finir dans les annales. Du grand n'importe quoi.
Je vous en ai présenté des merdes depuis au moins deux ans : des belles, des sublimes, des faisandées, des réchauffées, des connues d'autres moins. Mais là je pense que je vais devoir créer une nouvelle catégorie.
Avec Christelle et sa ballade de Walt Disney, on touche au divin. Rien moins que ça. Dès les premières secondes avec cette imitation de Bob Dylan en plein orgasme qui se prendrait pour Donald suivi de cette musique de baltringue, ça envoie valser 99 % des autres saloperies du dimanche existantes.
Puis l'arrivée des choeurs m'a scié les pattes et enfin, j'ai été littéralement achevé quand est arrivé le............................hum..................chant ??? Comment peut on nommer ce truc qui ferait passer l'égorgeur anatidéen Bob Dylan pour un Pavarotti en pleine possession de ses moyens ?
HEIN ??? COMMENT ???
Je me permets de vous poser la question parce que là c'est limite pas humain tout de même. Ce truc ferait passer Daniel Johnston pour un être parfaitement sain d'esprit, filerait presque des envies de meurtre à Mère Térésa. Rien que pour ces raisons totalement justifiées et bien d'autres encore, ce disque est un miracle. Preuve que l'esprit de Noël existe réellement.
Alors dans ce cas, je vous l'assène (lupin) : joyeux noël.
Et bonne chance pour vous virer cette scie de la tête. Parce que je ne vous l'ai peut-être pas encore dit mais malgré le côté atroce/horrible/immonde de la chose, c'est un putain de pot de glue qui vous reste dans le crâne des heures et des heures durant. L'oeuvre du malin si on y réfléchit bien.
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